Des Ethnologues Féminines Au Pays Des Hommes Nus Chapitre 5. Lola, Une Autre Bonniche
Lola une autre bonniche
Qui refuse de se laisser r
En dépassant probablement à son tour les limites
Mais cest tellement jouissif pour elle, et pour nous les femmes, qui lisons cette histoire
Lola nettoyait la maison dAlice, une dame dune cinquantaine dannées qui hébergeait encore le grand gamin de son compagnon décédé alors Serge, le garçon était encore très jeune
Les parents aurait évidemment pu sappeler Tanguy, mais sa vraie maman biologique avait plutôt choisi Serge
À la naissance, elle ne pouvait pas savoir quil serait un incruste !
Alice, la belle-mère donc, passait beaucoup de temps à lextérieur pour son travail, pendant que son grand garçon, de 25 ans quand même, glandait et squattait la maison. Lola avait dû sen accommoder, comme elle avait rapidement dû saccommoder de ses séances dexhibition. Ça avait dabord été au détour dune porte ou dun escalier et elle avait évidemment cru au hasard. Ça lavait plutôt fait sourire dapercevoir ce jeune homme nu, ses fesses et sa quéquette. Et puis ça sétait répété. Trop souvent que pour quon ne croie encore au hasard. Dautant plus que dans le même temps, Serge senhardissait
Et ce nétait plus du tout subrepticement que Lola pouvait admirer cette nudité
Nudité qui dailleurs ne lamusait plus
Quand elle travaillait à létage, il se déplaçait la bite à lair et régulièrement en mode garde à vous pour se rendre de la salle de bain à sa chambre et inversement. Il feignait également de temps en temps de dormir, la porte grande ouverte, la main accrochant ses bijoux. Elle se sentait salie par cet ur
ce gros dégueulasse
Un jour, ny tenant plus, elle avait été trouver la belle-mère que Serge appelait bêtement Tatie Alice pour dénoncer les attitudes irrespectueuses de son (parce que cétait SON) gamin de 25 ans
Mais elle lavait rabrouée, lui exposant que son beau-fils lui avait expliqué les mêmes rencontres, mais que daprès lui cétait elle qui en était la responsable, cétait elle qui ouvrait la porte de la salle de bain ou de la chambre quand il était nu
Elle lui avait dailleurs signalé quelle allait soccuper de laffaire, sanctionner la bonniche et la menacer de renvoi en cas de récidive
Elle lavait trop bien élevé ce gamin que pour se rabaisser à des attitudes pareilles !
La semaine suivante Lola se rendit rapidement compte que Serge avait été mis au courant par sa belle-doche
Il la toisait avec morgue, sexhibant davantage encore
puisquil avait décidé de se promener nu dans toute la maison, et même de la suivre dans les différentes pièces où elle se rendait, la bite toujours pointée en avant ! Lola ne le supportait pas.
Elle aurait bien claqué la porte, mais putain, elle avait besoin de cet argent ! Restait une autre solution, le piège
Et cest vers cette solution que son cur pencha. Au fur et à mesure quelle élaborait son plan, un sourire de plus en plus large éclairait son visage. La vue de la queue de Serge commençait même à avoir un effet différent
Une certaine jouissance intellectuelle montait, jouissance intellectuelle qui avait des conséquences jusque dans sa culotte, où elle ressentait même une certaine chaleur quand Serge la poursuivait la queue en avant. Elle sétait posé des questions
Etait-ce la vue de cette biroute en érection qui la faisait mouiller ? Mais elle sétait rapidement rassurée
Cétait plutôt lélaboration de son plan qui la mettait dans cet état.
Et le jour J arriva. Serge nétait pas encore levé quand elle était arrivée au boulot. Le café était chaud et dégageait une bonne odeur. Cétait le café que la belle-maman préparait pour son petit, mais elle sen octroyait régulièrement une bonne tasse
Comme il nétait pas encore debout, elle installa son matériel, une petite caméra quune amie lui avait préparée
Autonomie de la batterie, 3 heures. Durée de la cassette, 2 heures
largement suffisant pour filmer les scènes ! Puis elle sétait mise au travail, faisant suffisamment de bruit que pour réveiller lhomme à létage
elle entendit rapidement son pas lourd dans lescalier. Il était toujours lourd le matin
Vite elle poussa le bouton de la caméra et elle entendit le mécanisme se déclencher. Il apparut dans lembrasement de la porte, la pine triomphante
- Salut Salope !
- Ça commence fort ce matin, pensa Lola qui ne répondit pas.
Le tounu se dirigea vers la cuisine pour se servir une tasse
quil revint siroter en tournant autour de Lola. Il se sentait dhumeur gaillarde ce matin. Il lui parlait davantage, et ses propos étaient bien entendu dédaigneux et assez graveleux :
- Lola
tas des gros nichons bien tentant
Tu devrais me les montrer petite salope
Regarde, moi je te montre bien tout ce que jai
Et dun geste quelle trouva obscène, il soupesa son service trois pièces. Elle le trouvait obscène ce geste, alors que quand cétait son Jerry qui dans le temps prenait cette posture quil aimait beaucoup, ça la faisait rire.
Lola continua son travail, lair de rien
Mais Serge insistait :
- Allez, Lola, montre-moi tes lolos
tu vois comme je suis poétique
Lola, lolos, cest pas mal hein
Et comme elle ne réagissait toujours pas, il tenta une approche
elle se dégagea rapidement, mais il insista violemment et elle sentit son érection qui sécrasait sur sa hanche. Elle eut un soubresaut, quelle ne parvint pas à identifier
Dégoût ou allégresse ? Allégresse, très certainement, parce que la situation était idéale pour enclencher la deuxième phase de son plan
Elle sortit la bombinette de gaz quelle avait cachée dans la poche de son tablier et en aspergea le visage du vicieux. Serge hurla, et tomba à genoux, une main devant ses yeux, lautre essayant de saccrocher à elle. Elle se dégagea dun mouvement, fila jusquà la chambre de lhomme, ouvrit le tiroir de sa table de nuit et en fouillant un peu dans le brol qui sy trouvait, elle en sortit une paire de menottes quelle avait repérée, un jour quelle faisait la chambre. Elle redescendit jusquau milieu de lescalier où elle attacha une menotte à un barreau. Puis elle termina la descente et retrouva lhomme couché sur le carrelage qui geignait en se frottant les yeux
Elle lui refila un coup de pied, pas violemment, mais pour lui faire comprendre quelle était de retour
- Saaalope ! Quest-ce que tu mas fait connasse ! Je vois plus rien !
- Tinquiète mon gros, ça va passer dans quelques minutes si tes sage
Si tes sage parce que si tes pas sage je ten remets une giclée !
- Tas pas intérêt putain
Quand je tatt, je te casse la gueule
- Bon, maintenant, je vais te demander dêtre poli avec moi
Une insulte égale une punition
Et tu sais maintenant de quoi je suis capable !
- Tu crois que tu me fais peur dévergondée
viens ici que je tatt seulement !
- Dévergondée ? Je dois considérer ça comme une insulte ?
- Tu considères ça comme tu veux ptite pute, connasse, salope
- Houlà ! Ça, se sont de vraies insultes ! trois insultes ! trois punitions !
Et elle lui envoya un coup de pied plus violent sur la cuisse !
- Mais ça va pas la tête tes complètement tarée ! Malade mentale !
- Nous disions donc, trois, moins une, plus deux
Tas intérêt à te calmer, parce que, tu va le sentir passer !
Et levant la main, elle frappa de toutes ses forces sur une fesse nue qui apparaissait si disponible
- Putain !
Vlan ! Une deuxième fessée !
- Connasse !
Et de trois
- Continue, tu commences à bien mamuser ! Je te dois toujours disons quatre punitions
tu dis plus rien ? Tu te calmes ? Voilà qui est bien ! Allez relève-toi, et viens avec moi !
Et elle attrapa le tounu par le bras pour le forcer à se relever
Ce dont il profita en lagrippant des deux mains, dabord par le bras, puis avant quelle ne puisse réagir par le cou, tentant ainsi de l.
- Jen compte cinq de plus ! Encore du plaisir pour moi en perspective. Allez, amènes ton lard.
Lhomme ne dit plus rien, mais il résista
- Tu résistes ? Alors, atts ça !
Et une superbe fessée atterrit sur lautre fesse, déclenchant un hurlement
Manifestement il ne lattendait pas, celle-là !
Mais malgré la fesse brûlante, il ne broncha pas et refusa davancer
- Tu veux les grands moyens mon gros
tu sembles oublier que tu nes pas en position de force ! Et les armes, cest toi qui me les as données
Et glissant entre les fesses, elle attrapa les couilles de lhomme et tira fortement en arrière, déclenchant de nouvelles invectives
Mais cétait cependant la solution. Plutôt que davancer, lhomme reculait, mais dans la direction que Lola lui indiquait en tirant fermement ses pauvres bijoux endoloris
La jeune femme lamena ainsi jusquà la rampe descaliers
Elle lui ordonna de lever les bras. Il obtempéra à la troisième fessée. Avant quil ait pu réagir, elle referma la deuxième menotte sur son poignet.
- Et voilà ! Tu es mon prisonnier, maintenant !
Elle ouvrit le tiroir de la commode qui se trouvait à côté delle, et en sortit trois foulards
de marque ! Qui appartenaient à la reine-mère. Lhomme, à poil, aveugle et attaché, ne désarmait cependant pas encore. Il ruait à qui mieux-mieux, de manière totalement inefficace, Lola surveillant son manège. Elle le laissa sénerver quelques secondes, et fila chercher la caméra quelle installa dans un endroit plus adéquat pour mieux filmer la suite du programme. Comme il semblait se calmer, elle fit rapidement un nud coulant au foulard, et le glissa sans quil ne puisse réagir à son autre poignet
elle glissa une cuillère en bois à lautre extrémité du lien quelle avait créé, et glissant la cuillère entre deux barreaux, elle tenta tant bien que mal de la coincer.
- Ça donne soif, tout ça
Je vais aller boire un coup
Tu ten vas pas hein ! rigola-t-elle.
Elle le laissa patauger quelques minutes, pour quil réalise davantage la situation dans laquelle il se trouvait, et aussi pour quil retrouve lusage de ses yeux.
Ses yeux piquaient encore quand elle revint près de lui, mais il la distinguait nettement
Il navait cependant pas encore désarmé
- Tu vas me détacher salope ! Attends que je sois libéré
Tu vas passer un mauvais quart dheure ! Salope !
- Je compte toujours mon gros
si tu veux que je fasse à nouveau chauffer tes fesses, tu peux continuer
Je tai dit que moi, ça mamusait !
Il devait avoir les fesses assez douloureuses car il se calma, même si ces yeux rougis par le gaz, montraient également de la colère.
Il tenta enfin de négocier
- Daccord, jai déconné
je mexcuse
tu peux me détacher, et me dire ce que tu veux en échange
- Je négocie pas avec toi petit bonhomme
Je négocie quavec ta tatie
- Avec tatie! seffraya le tounu.
- Non, pas avec tatie ! Faut la laisser en dehors de tout ça !
- Tuuut tuuuut tuuuut ! Tu mas fait passer pour une dévergondée
cest ça le mot que tu utilisais tout à lheure non ? Tu mas fait passer pour une dévergondée et une menteuse
Jai bien lintention de rétablir la vérité
Avec ta tatie
Bon, passons à la suite du plan
tu mattends deux secondes, jarrive
Elle fila dans le bureau, chercher un gros marqueur rouge
Lola sapprocha de lhomme, le marqueur en avant pour écrire sur son torse, mais une ruade lenvoya valdinguer de lautre côté de la pièce.
- Aïe
tu mas fait mal
connard ! Tas intérêt à me laisser faire pourtant !
Mais un nouvel essai dapproche déclencha à nouveau des tentatives de coups de pied. Pas décontenancée pour autant, Lola attrapa une écharpe dans le tiroir, et au soubresaut suivant, elle attrapa fermement une jambe de lhomme, et lui fit perdre léquilibre
Il se retrouva pendu par les poignets dans une position tout à la fois grotesque et douloureuse, mais qui le rendait aussi complètement inoffensif. Sauf en mots, car il ne se priva pas dinjurier une fois de plus copieusement Lola, ce qui la fit sourire
Elle noua lécharpe à sa cheville, et pendant quil cherchait à retrouver léquilibre, elle lia lautre bout au pied de la lourde commode qui se trouvait à côté. Serge se trouvait maintenant écartelé, seule une jambe était encore disponible, mais il devait être attentif à elle pour ne pas perdre sa stabilité. Le marqueur sapprocha à nouveau de la poitrine
Et elle écrivit
- Lola, lolos, cétait poétique, tu te souviens ? Moi, je te propose un autre poème : Serge, petite verge
cest joli aussi, non ?
Serge grommela quelques mots inaudibles, et Lola pensa quil valait mieux quils le soient !
- Bon, mais je vais men aller, maintenant
ça va faire plaisir à Tatie Alice de retrouver son petit gamin la quéquette à lair, non ? Faudra quelle te libère aussi
Tu vas pas rester pendu comme ça, jusquà la fin de ta vie, hein ? Tu risques dattr un rhume de zizi ! Tu sais quoi, je vais lui laisser mon numéro de téléphone à tatie Alice, comme ça on pourra sarranger pour que tu sois libéré
Tas pas un bout de papier ? Ah ! Mais non, je suis bête, tu ne sais pas aller me le chercher ! Cest pas grave, jai une autre idée !
Elle sapprocha de Serge et lui empoigna la queue qui sétait toute recroquevillée suite aux divers événements désagréables que son propriétaire avait vécus. Quelques mouvements bien cadencés et le sexe retrouva toute sa raideur.
- Tu vois, tu voulais que je sois gentille, et bien, je le suis !
La queue rigide soffrait maintenant à elle, comme un plan décriture idéal pour y inscrire son numéro de téléphone. Elle reprit son marqueur et sappliqua. Les mouvements quelques peu désordonnés de Serge ne la désarçonnaient pas. Elle écrivait bien grand, car il y avait suffisamment de place. Arrivée au bout de la pine à Serge, elle le décalotta, inscrivit un chiffre sur le gland, puis recalotta et termina dinscrire le numéro de téléphone sur lautre face du sexe. Elle se mit à rire
- Jimagine déjà la vieille quand elle va essayer de lire le numéro
ça va vous amuser tous les deux, jen suis sûre ! Tu crois que tu vas bander comme maintenant quand elle va te manipuler le zizi ?
Serge rougissait de colère et de honte
Tout était maintenant en place, il ne lui restait plus quà partir. Elle fila à la salle de bain, attr une taie doreiller, lenfila sur la tête de Serge pour quil ne puisse pas voir quelle changeait de cassette et de batterie pour la caméra, quelle réinstalla au même endroit discret
Elle sapprocha une dernière fois de lui, retira la taie, lui attrapa vigoureusement les coucougnettes et en serrant raisonnablement fort, elle approcha son visage du sien et le regardant dans les yeux, elle lui souffla :
- Et ça, cest pour toutes les punitions que tu nas pas eues !
Et elle sen alla chez sa copine Elena pour attendre lappel téléphonique. Ça lui avait coûté un peu dargent, mais ce numéro de téléphone, elle lavait imaginé à usage unique. Quand elle aurait reçu cet appel, elle jetterait la carte, et ce numéro ne servirait plus. Elle profiterait aussi de sa visite chez Elena pour faire des copies de la cassette
Ce pouvait être des preuves bien utiles !
Elena samusa de lhistoire que Lola lui raconta. Elles rirent beaucoup aussi en imaginant lAlice débarquer chez elle et découvrant son gamin adoré en aussi fâcheuse posture. Lola avait quitté Serge depuis 3h quand le téléphone sonna
Il avait dû patienter le bonhomme !
Ce fut dabord lengueulade. Lola écoute quelques secondes, puis raccroche sans rien dire. Resonnerie. Mais Lola ne décroche pas. Nouvelle tentative, toujours sans résultat. Au troisième essai, Lola décroche et lengueulade continue. Elle coupe à nouveau la conversation en souriant, un clin dil à Elena ponctuant son geste. Quelques courtes minutes passent et quand elle pose à nouveau le portable à son oreille, la voix de lautre côté est davantage maîtrisée, même si Lola croit percevoir un tremblement dans la voix.
- Je téléphone pour que tu mexpliques comment je peux faire pour détacher Serge !
- Je préfère quand tu es plus polie
cest comme pour ton gamin
je lui ai fait comprendre que les injures ne menaient à rien
Il ta montré ses fesses ? Je crois quelles sen souviennent !
Elle ne lavait jamais tutoyée, mais les circonstances lui commandaient dagir ainsi.
- Je suis là dans 5 minutes, et on va tout organiser pour quon puisse libérer ce beau gamin
Cest vrai que cest un beau gamin
Et tout nu encore plus hein ! Tu le vois souvent tout nu ? Moi, tu sais, jai lhabitude !
Pas de réponse de la belle-mère, mais ce nétait pas grave. Elle raccrocha, envoya un bisou du bout des doigts à sa copine et se rendit à son rendez-vous.
Elle arriva devant la maison. Cétait une villa quatre façades, avec deux garages au niveau de la rue. Il fallait donc grimper une quinzaine de marches, puis encore parcourir 5 mètres pour arriver jusquà la porte
Elle fit le trajet, non sans une petite appréhension, mais également avec une volonté inébranlable
Elle savait ce quelle voulait faire et obtenir, et elle le ferait et lobtiendrait !
Elle devait être épiée, car la porte souvrit à son arrivée. La mère lempoigna par le bras et la secoua, tout en labominant dinjures. Mais elle se dégagea fermement.
- Toi ta gueule, et tu arrêtes de minsulter, sinon, je pars et je reviens peut-être demain, si jai le temps !
La menace fit son effet.
Lola sapprocha de Serge que sa belle-mère avait détaché de ses liens en tissu et à qui elle avait enfilé un short et passé une couverture autour des épaules. Lola lui glissa doucement la main sur le torse, puis sur le ventre.
- Alors, tas raconté à tatie Alice ce qui sétait passé ? Tu veux bien lui raconter encore une fois quand je suis là ?
-
- Allez raconte à tatie comment tu es encore arrivé ce matin tout nu avec sa petite quéquette toute droite et comment tu es venu frotter cette petite quéquette contre moi pour que je te montre mes seins
tu racontes, où cest moi qui dois le faire ?
-
- Ce nest pas ce quil ma expliqué ! intervient la belle-mère.
- Vous êtes une sacrée menteuse ! En fait, cest vous qui vous êtes mise la poitrine à lair pour aller dans sa chambre et lexciter !
- Et vous le croyez bien sûr
Cest un petit chérubin que vous avez là, un petit chérubin qui ne ferait pas de mal à une mouche et qui est bien sûr incapable davoir la moindre pensée impure
Quant à une attitude inconvenante avec une femme, il vous est proprement impossible dy penser !
Et plaquant sa main sur le short, à hauteur de la queue et des couilles de Serge, elle commença à les malaxer vigoureusement.
- Alors gros porc, tu expliques à ta tatie chérie, que je ne suis pas une menteuse, mais que toi tu es un gros obsédé
Hein
raconte !
Et sa main demprisonner fortement les coucougnettes et daugmenter la pression.
- Mais vous allez le lâcher, espèce de pouffiasse ! Vous voyez bien que cest vous la dégueulasse ! Provocatrice ! Allumeuse !
- Il y a deux choses que je lui ai expliqué tout à lheure à votre grand chérubin. Dabord que ce nétait pas bien de ne pas dire la vérité, surtout quand on nétait pas le plus fort et quon mettait ses points faibles à disposition
Et elle serra plus fortement ce quelle tenait en main
,
- et deuxièmement
Elle lâcha lhomme et approcha son visage à quelques centimètres de celui de la belle-maman
- Je refuse absolument toute injure sous peine de punition
Vous mavez injuriée, vous serez sanctionnée
- Je voudrais bien voir comment ! » pouffa la vieille
- Et bien, nous allons commencer ! » confirma la bonniche.
Elle inséra une cassette dans le magnéto et la séance de cinéma débuta démontrant aux yeux de tatie Alice, la face cachée de ce quelle considérait être son charmant bambin, une face fort peu vêtue !
Serge, toujours attaché à lescalier ne voyait rien de ce qui passait à la télé, mais il pouvait observer avec une inquiétude qui grandissait le visage de sa tatie qui se décomposait.
La projection était terminée. Tante Alice avait repris le dessus.
- Bon daccord, Serge a un peu merdé
mais il est temps de le libérer maintenant ! Vous exagérez aussi de votre côté !
- Je le libère tout de suite, mais à mes conditions
Nous imaginons bien tous que ce qui sest passé aujourdhui ne pourra que nuire et même être fatal à nos relations professionnelles. La première condition est donc pécuniaire : tu me verses ce que tu me dois pour le mois et le mois passé que tu nas pas encore réglé
- Ça me paraît correct, mais vu létat de la maison aujourdhui, je ne vous paierai pas ce jour
- Hélà radine ! Si si ! Aujourdhui aussi ! Rien que pour sa pine quil a frottée contre moi, tu dois me payer !
- Bon daccord
souffla la femme en regardant assez méchamment le grand dadais à moitié à poil
- Mais vous ne me demandez plus dargent hein !
- Si bien sûr ! Ce nest pas terminé
tu me paies, et ce que je recevais de ta part me permettait de vivre
il va falloir que je me retourne et que je trouve un autre boulot
Et tout ça à cause de ce cochon
Le cochon baissa les yeux
- Tu me dois un préavis, que je fixe à 6 mois
Tu me dois donc 6 mois davance à raison de 400 par mois, cela te fait 2400
on va arrondir à 2500
- Non, mais ça va pas la tête ! je ne vous paie jamais ça sur 6 mois
Il nen est pas question ! Voleuse !
- Hé ! Attention les insultes ! On avait dit pas dinsultes sous peine de punition
Déjà que tu en as plusieurs à ton compteur ! Et donc, on ne discute pas ! Les 2500 de préavis, le mois passé à 380 et ce mois ci, qui nest pas terminé, disons à 260. Ce qui fait un total de 3140, ne soyons pas chiche, jarrondis à 3200 !
- Non, mais vous commencez à exagérer, 2500, cest bien suffisant. En plus ce nétait pas toujours propre quand vous veniez
- Je considère ça comme une insulte supplémentaire
il va falloir arrêter, je ne suis pas sûre davoir assez didées de punitions !
- Bon, vous avez gagné
Mais je nai pas ça en cash, vous comprenez bien. Donnez-moi votre numéro de compte, je vous verserai ça !
- Tssss, tssss, tssss ! Faut pas me prendre pour une conne, même si le nombre de gros mots que vous mavez envoyés me font penser que vous pourriez avoir de telles pensées à mon égard
Un temps darrêt
- Mais je ne te fais pas assez confiance
Tu vas me chercher tes sous à la banque ou à un distributeur, ten as maximum pour 10 minutes, et moi je tattends avec Serge
hein Serge !
-
- Je crois que je nai pas le choix
Je suis bien obligée de céder à votre chantage !
- Mais ce nest pas du chantage, je ne vais recevoir que mon dû
Mais avant de partir
la première petite punition
Je vais te demander de déculotter le gamin, là, pour que je puisse un peu mamuser avec lui ! Cest drôle, tu ne trouves pas
il me dégoutait à se promener à poil, mais maintenant, dans cette situation, ça commence à vraiment mamuser de le voir tout nu et de pouvoir jouer avec son petit oiseau ! Hein que cest drôle Serge ?
-
- Allez la mère, ne fait pas la Sainte Nitouche
fous le gamin à poil !
- Non, ça, il nen est pas question
espèce de grosse perverse !
- Je ne considérerai pas ça comme une insulte, parce que tu as sans doute un peu raison
Mais à force de fréquenter un pervers comme ton bonhomme là
ça ma donné des idées
Allez à poil Serge ! Cest la première des punitions que tu me dois.
- Et si je refuse ?
- Pour moi, il peut rester attaché toute la nuit, et même la nuit prochaine
- Mais je peux essayer de trouver quelquun pour le libérer aussi
- Ça cest tout à fait évident
je métonne même que tu ny aies pas pensé avant
Je me demande ce que tu vas trouver pour expliquer pourquoi le gros lard est attaché avec des menottes et à moitié à poil ! Mais cest comme tu veux
tu peux me foutre à la porte
et même ne pas me payer ! Mais jai une cassette qui fera bien rire les voisins et les quelques copines que tu as et que je connais
Cest à toi de voir
Tu te décides tout de suite
Je men vais ou tu respectes mes conditions
Dis-moi
-
- Bon, cest pas grave, je men vais
- Non, cria Serge, honteux à lavance de voir la vidéo de sa quéquette exhibée chez les voisins.
Lola interrogea la mère du regard
- Bon, vous avez vraiment gagné
Je vais chercher largent »
Lola : Mais avant
Et dun geste du menton, elle désigna lhomme
Résignée la mère sapprocha et libéra la queue de son gamin de 25 ans
Lola sen saisit et dit :
- Voilà, toi tu vas me chercher les sous et nous on va jouer, hein Serge que ça va être gai nous deux
Malgré la pénibilité de la situation, Serge ne pouvait cacher que la main de Lola sur son sexe ne le laissait pas indifférent
La tatie Alice sen aperçut et quitta précipitamment la maison
Lola se posta à la fenêtre pour la regarder embarquer dans sa voiture. Elle revint ensuite près du tounu et lui demanda de se tourner pour regarder le mur. Il se fit docile et obéit. Elle lui demanda ensuite de lever les bras pour quelle puisse de nouveau lui attacher les bras. Comme il regimbait elle ressortit sa petite bombe ce qui eu pour effet de le calmer instantanément. Elle lattacha donc solidement puis fila à la cuisine se servir un jus de fruits frais. Elle eut même la délicatesse den servir un à Serge. Elle le lui fit boire, sans omettre bien sûr den renverser un peu sur son torse, mais il ne lui en voulut pas. Il la remercia même de son attention. Elle lui fit un clin dil et ajouta
« Je peux même faire mieux
»
Et du bout de son soulier, elle lui titilla le zizi jusquà ce que celui-ci se redresse, ce qui ne prit que très peu de temps
Il appréciait plus la situation quon aurait pu le penser, le Serge. Admirant le résultat de son travail, elle sen alla faire un tour dans les étages, puis redescendit vérifier que lérection de Serge persistait. Elle retourna se poster à la fenêtre.
Deux minutes. La voiture était là. Elle se précipita vers lhomme et réactiva la bandaison qui commençait à défaillir. Résultat garanti en quelques secondes. La belle-maman rentra, et tomba sur Lola, le pied toujours actif sur le sexe du grand gamin. Elle détourna le regard
- Tu vois, on sest bien amusé pendant que tu nétais pas là
Je crois que Serge il aime bien être attaché
Tu devrais penser à ça pour sa Noël, des tas de gadgets pour le punir
je crois quil aimerait bien
Hein Serge que tu aimerais bien
Mais pas de paire de menottes hein
ça il en a déjà
parce que cest à lui, les menottes. Tu savais quil avait une belle paire comme ça ? Mais non grande sotte, je parle de sa paire de menottes
Tatie Alice jetait des regards furieux vers la jeune femme et vers le jeune homme, qui semblaient tous les deux trouver du plaisir à la situation, même si Serge tentait de faire penser le contraire en roulant des yeux
- Bon, cest pas tout ça, tas le pognon ?
La femme sortit des billets de son sac à main
Et elle les déposa sur le meuble à côté deux. Lola sapprocha, pris la fine liasse et commença à compter. Le compte était bon
Un sourire de satisfaction éclaira son visage
- Tu vois que tu peux être sage, quand tu veux
Et puisque tu as été aussi sage, je diminue le nombre de punitions. Il ny en aura plus que deux
si tu es sage et que tu mobéis bien
- Alors, première punition
Elle se tut quelques secondes, le temps de réellement sentir la tension qui montait dans la pièce. Serge et sa belle-mère attendaient la sentence
- Première punition
Tas toujours considéré ce grand gosse comme un ange et moi comme une diablesse
Aujourdhui, tu te rends compte que lange cest moi
Un ange un peu coquin peut-être, mais un gentil ange
Par contre, Serge est un vilain diablotin
Il va falloir que tu le punisses
Tu vois
Je te lai préparé
ses fesses sont prêtes
Elle laissa un nouveau moment de silence pour laisser aux deux autres, le temps de comprendre la suite de lhistoire
Quand elle vit quils avaient compris
elle reprit :
- Bien ! Vous semblez savoir ce que jattends de vous
10 ! 10 vraies fessées sur son joli postérieur
Oui
Je sais que cest un pléonasme ! Mais jaime la formule
Allez tatie ! Cest lheure denfin punir ton méchant gamin !
La belle-doche regardait le cul nu de lhomme, nimaginant pas, ne fusse que de poser la main dessus. Lola lencouragea du regard
Dabord de manière amusée puis en prenant un regard sévère. La femme comprit quelle ny couperait pas
Elle leva la main et claqua une première fois
Lola se mit à rire :
- Quest-ce que cest que ça ? Je comprends quil soit comme ça le gamin, si tu las puni comme ça quand il était petit. Cest des caresses ça
Cest pour ça quil est devenu pervers
Sa tatie qui lui caressait le cul
Tu lui as caressé le cul comme ça jusquà quel âge ? Non, moi ce que je veux, ce sont de vraies fessées, qui vont lui rougir la peau
Allez, fini de rire
On commence pour du bon, maintenant
Une
Et la belle-mère de claquer plus fort. Un sourire de Lola. Seconde fessée plus solide encore
puis une troisième
Elle avait trouvé et le rythme et la densité de la claque. Serge se tendait à chaque coup
Mais la douleur, à moins que ce ne fût autre chose, avait un effet surprenant sur sa queue qui manifestait avec véhémence son contentement
Tatie Alice asséna sa dixième fessée
Les fesses avaient pris des couleurs. Mais elle ne sarrêta pas à dix
Et il y en eut bien 15 autres avant que Lola ne décide de larrêter dans un bel éclat de rire.
- Bravo ma grande ! Sauf que tu ne sais pas compter ! Mais il méritait les quelques une supplémentaires ! Viens un peu regarder avec moi ce que tu lui as fait
Et contournant lhomme, elle fit voir à sa mère la belle érection que ses fessées avaient déclenchée
- Tu ne peux pas accepter quil se montre tout nu comme ça avec une bite pareille hein que tu ne peux pas accepter ça
dis lui que tu me peux pas
- Tu ne peux pas Serge
exprima la femme dans un souffle furibard
- Quest ce quil ne peux pas
Soit plus explicite
cest important dêtre plus explicite avec les petits s
allez dit lui les choses clairement
- Tu ne peux pas montrer ton zizi comme ça !
- Il est comment son zizi ? Dis lui pourquoi il ne peut pas le montrer comme ça
- Tu ne peux pas montrer ton zizi qui bande murmura la vieille
- Plus fort
Tu ne peux pas bander quand je suis là ! hurla-t-elle
- Bien
sourit Lola
- Et donc comme il bande sous tes yeux
il mérite une autre punition
Par précaution, je vais tattacher quelques secondes
quelques secondes, tinquiète pas
Allez
Donne- moi ta main
Et elle attacha une main de la belle-maman à lescalier, puis sortit de sa poche une petite clé quelle fit miroiter dans le creux de sa paume
Rapidement elle détacha la menotte de lescalier en emprisonna la main de la femme restée libre. Elle se retrouvait maintenant attachée à lhomme tout nu
lola les détacha tous les deux de la rampe descalier
Cela fit du bien à Serge qui esquissa quelques gestes visant à de dégourdir les muscles endoloris par les heures demprisonnement. Mais dun geste brusque, sa belle-mère, au travers des menottes le rappela à lordre.
- Allez encore quelques minutes de courage et je vous laisse tranquilles. Nous disions donc que Serge avait une trique obscène
On ne bande pas devant les dames et surtout devant sa tatie qui laime tant, soccupe si bien de lui et le considère tellement comme un ange
Enfin quand je dis quon ne bande pas devant les dames,
on se comprend ! Suivez-moi
Puisque Serge a la trique quand tu le fesses debout, on va essayer dans une autre position
tu tassieds sur la chaise ici, voilà, et Serge tu te couches sur les genoux de ta tatie bien aimée, pour lui présenter de la meilleure manière ton super postérieur
Allez action ! Ah oui, ce nest pas facile avec les menottes
Mais je préfère que ça se passe comme ça
je me sens plus en sécurité
Enfin, vous êtes plus coopérants
Il en a fallu du temps ! Regarde tatie comme il a un chouette cul le grand garçon
Un chouette cul pour les 10 dernières claques de la journée. Quand je dis les 10 dernières, cest les 10 pour moi ! Après, vous ferez ce que vous voulez ! Peut-être quil en mérite davantage ! Tu sens bien sa queue tout dure contre ta cuisse ? Sympa hein de sentir cette queue qui palpite contre soi
hé oui, cest comme ça quand on fréquente un obsédé
Je suis contente que tu te rendes compte de ce que cest
Et toi Serge, tu aimes que ta bite se frotte contre les cuisses de tatie Alice ? Excitant hein !
Et Lola se pencha, attrapa le sexe dur de Serge, et le fit glisser entre les jambes de la femme
- Comme ça, il palpite mieux, et on voit mieux comme tu prends du plaisir ! Allez Tatie, frappe maintenant. Et Serge va compter
Mais tu ne comptes que les vraies fessées
Pas les caresses hein !
Et la vieille de recommencer à user le cuir de son fils dadoption. Et Serge de compter.
- Serge jai dit pas les caresses. Tu es déjà à trois, et moi je nen ai pas encore comptée une
concentre-toi sil te plaît
Et Serge de recommencer au début
Les fesses étaient bien rouges à nouveau
Et Lola tint parole.
Elle fila dabord retirer la caméra de sa cachette
- De jolis souvenirs ! expliqua-t-elle dans un grand éclat de rire
- Mais je vous promets que tout ça restera entre nous, si vous ne me cherchez pas misère ! Alors, voilà comment ça va se passer maintenant
Vous allez vous mettre à la fenêtre là
Ah oui Serge, hélas, tu ne vas pas être très discret
Mais maintenant, nous savons tous que tu aimes montrer ta quéquette
Ça ne doit donc pas trop te déranger
Donc, vous vous mettez à la fenêtre. Je descends les escaliers, je mets la petite clé que voici dans la boîte aux lettres, je rajoute cette grande clé qui est la clé de ta chambre où tu espérais trouver des vêtements, et je vous fais un grand signe au revoir
Vous navez plus quà récupérer la clé
- Mais
on ne peut pas aller dehors attachés et avec lui à poil ?
- Ce sera pourtant la seule solution
sourit à nouveau largement Lola
- Allez bye
Elle sortit, admira le couple baroque à la fenêtre et glissa la clé dans la boîte aux lettres. Elle neut pas le temps de faire le signe dau revoir quils avaient quittés la fenêtre. Elle alla se poster un peu plus loin espérant les voir débouler à la boîte aux lettres, mais ils ne sortirent pas. Ce nest quau moment où elle sapprêtait à quitter son poste de guet quelle les aperçut. Serge torse nu, avait enfilé un kilt de sa tante
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!